5 min. read | by the black mail | 27 novembre 2016 | issue n°
La route, les décalages horaires, les pare-brises gelés et le monde qui tourne et tourne vers de nouveaux jours… Julien cale son oeil dans le viseur télémétrique de son Leica, retient son souffle et appui sur le déclencheur, arrêtant par là-même, pour un instant, la course folle du temps. Clic.
Julien Regnier.
Route calme, montagne de carton, vent silencieux.
Julien Regnier.
Ciel sauvage, démonte les horizons, fabrique la pluie, soit le tableau de nos vies.
Julien Regnier.
Quel est ton drapeau ?
Même paré de belles couleurs, il est cruel le chant des drapeaux.
Julien Regnier.
Les lacs et les montagnes de feu.
Julien Regnier.
Voila la terre qui vomit son or et ça sent le souffre.
Julien Regnier.
Notre maison.
Julien Regnier.
Pointe traversant l’amour surexcité de ma peau de part en part.
Julien Regnier.
On voit la mer, les rochers et puis cet oiseau, ce magnifique oiseau.
Julien Regnier.
Violation du droit d’auteur
Julien Regnier.
First snow with a sky that promise nothing, we hope for clouds and snow flake by billions of billions.
Julien Regnier.
La vue est fantastique, le bruit d’un autre monde et on se sent tout petit à surgir en ce monde.
Julien Regnier.
Julien Regnier.